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OSMOSE &

DERNIÈRESLETTRES

Création 2016

DISTRIBUTION

Interprètes : Pierre Bedouet et Bérénice Brière

Mise en scène : François Chevallier

Traduction : Séverine Magois

Scénographie : Anne Pitard

Photographie : Rémi Hemmer

Avec le soutien de : la Maison de quartier les Dervallières - Nantes, le gARage - Château-Gontier, le Théâtre du Champs de Bataille - Angers

OSMOSE &

DERNIÈRES 

LETTRES

De Matt Hartley

LES HISTOIRES

OSMOSE

Patrick est un employé modèle « un fidèle serviteur de l’entreprise » c’est ainsi qu’il se définit.

Il s’ennuie dans une routine bureaucratique, il espère et même il prie que sa vie change…

Un jour, il est convié dans le bureau de la direction, ils sont cinq à le regarder et à lui sourire.

Patrick est un garçon qui a un don, un talent : il désamorce tout conflit, il apaise par son visage avenant.

Sa direction lui propose une nouvelle fonction : « Etre le visage qui annonçait la nouvelle que personne n’avait jamais envie d’entendre. » Il l’accepte.

DERNIÈRES LETTRES

Rebecca est une jeune épouse et son jeune mari Andy est militaire en Afghanistan.

Un jour, deux militaires, un homme et une femme sonnent à la porte : « Le soldat Andrew Jones est mort dans un attentat à la voiture piégée, il est mort sur le coup. » Rebecca se retrouve donc veuve et enceinte, elle nous explique qu’Andy ne le savait pas. Que va t’elle devenir ? Que dira-t’elle à son futur enfant ?

POURQUOI METTRE EN SCÈNE CES MONOLOGUES ?

Dès la première lecture de ces monologues, il m’a semblé évident de les faire entendre au public, de leur donner chair à travers une interprétation théâtrale de proximité. Ces textes là arrivent au moment où je souhaite une rencontre plus immédiate avec le spectateur, moins sociable et plus sociale. La politique a délaissé la culture au profit de la communication.

La traduction trop immédiate du réel, la mise en avant de l’événement génère de la confusion. La culture doit réinvestir l’espace social et redonner du sens au quotidien à travers des oeuvres réfléchies et discutables.

« La culture est l’aliénation d’une classe sociale par une autre », comment déjouer cette trop puissante réalité ?

Les personnages d’Hartley je les connais dans ma famille, au travail.

Je m’y reconnais enfant dans ce que j’ai ignoré, par insuffisance d’éducation, de culture.

Je m’y reconnais par ce que je sais de la difficulté quotidienne.

Le théâtre d’Hartley interroge sa propre condition.

--> dossier de présentation sur demande : latelierdixpardix@gmail.com

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